Un jour pourtant un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

Aragon


10/03/2009

les pourris de l'ONU

Pain, pétrole et corruption

Magazine

une émission qui passe a cette heure sur arte !...

scandale et dégout !..


Un grand documentaire d'investigation sur l'une des plus scandaleuses affaires de corruption de notre époque, perpétrée aux dépens d'un programme humanitaire mis en place par l'ONU.

"Pétrole contre nourriture" est le nom d'un programme initié par l'ONU en 1996, qui visait à satisfaire les besoins humanitaires de la population irakienne soumise à un embargo depuis l'invasion du Koweït en 1990. Il devait permettre à l'Irak de vendre une quantité limitée de son pétrole, sous contrôle de l'ONU, et d'acheter en échange de la nourriture et des médicaments. Pendant près de sept ans, "Pétrole contre nourriture" va brasser près de 100 milliards de dollars. En janvier 2004, un quotidien irakien publie une liste de personnalités et d'entreprises ayant touché des pots-de-vin dans le cadre de cette opération humanitaire. Le scandale éclate.
L'ONU constitue discrètement une commission d'enquête indépendante, présidée par Paul Volcker, qui rend un rapport édifiant en 2005, accusant près de 2 500 individus et sociétés internationales dans une trentaine de pays. Depuis, très peu de procès ont eu lieu et les mises en examen sont tout aussi rares...

Contrebande d'État
Dans un univers confiné où se croisent ambassadeurs, anciens agents de services de renseignement, journalistes, fonctionnaires de l'ONU, avocats, affairistes, politiciens et médecins irakiens s'est joué l'une des plus grandes affaires de corruption de l'histoire moderne. Une affaire que, pourtant, le monde entier a très vite oubliée. De Dubaï à Genève en passant par Amman, Paris et New York, les réalisateurs remontent une à une toutes les étapes qui ont permis cette gigantesque contrebande pétrolière. À l'aide de documents inédits, d'archives et de témoignages d'acteurs directs, ils reconstituent avec précision ce qu'il faut bien nommer un pillage, dont la principale victime a été le peuple irakien.

7 commentaires:

Serge a dit…

Hé oui...,
L'ONU n'échappe pas à la corruption.
A mes yeux, cette institution n'a qu'un seul but avouable, c'est de permettre , quand c'est possible, un dialogue entre belligérants, ou du moins que chacun d'entre eux puissent émettre son opinion, qu'elle soit entendue est un autre problème.
Pour le reste....

Anonyme a dit…

Et pourquoi pas des diamants contre des patates... (quoi que en un sens c'est déjà le cas)

Anonyme a dit…

J'ai regardé quelques extraits.

Il y en a qui s'en sont mis pleins les poches !!!!!!

Et les politiques voudraient qu'on leur fasse confiance !!!!....

noèse cogite a dit…

Vraiment..aucune institution ne peut rester debout en nous regardant dans les yeux..
Il faut croire en l'humanité,,de plus en plus dure:(

orfeenix a dit…

onu soit qui mal y pense...(nul!)

Anonyme a dit…

suggestion : que l'ONU s'installe ailleurs qu'à l'épicentre de la corruption (New-York)

menfin a dit…

jef bonne idée ça :)