Un jour pourtant un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

Aragon


27/02/2009

Bruxelles

pour accompagner l'invitation de walkingthedog
et dans un tout autre style
moi aussi je vous fais une petite visite de Bruxelles

tryo



nos besoins vitaux c'est juste ça

non au fric
non à la compétition

proces AZF




du bien fondé des usines chimiques et des centrales nucléaires...



TOULOUSE (AFP) - Le tribunal correctionnel de Toulouse a placé jeudi Total et son ex-PDG, Thierry Desmarest, au rang des prévenus du procès de l’explosion de l’usine AZF



Voilà donc que s’ouvre le procès de la plus grande catastrophe industrielle française. Officiellement trente et un morts (ne sont pas comptabilisés les décès dus aux effets post-traumatiques survenus dans les mois qui suivirent), des milliers de blessés, des séquelles à vie.
tout le monde savait que ça allait péter. D’ailleurs ça avait déjà pété. Plus de deux cents ans de poudrerie, d’abord royale puis républicaine, ça en fait des « accidents ».

toulouse.indymedia.org/spip.php?article34865
bon puisque le lien ne fonctionne pas je copie ici tout l'article d'indymédia toulouse.


procès AZF bis

Le procès AZF a enfin commencé ! Approchez ! Approchez braves gens, honnêtes citoyens, y en aura pour tous les goûts, du spectaculaire, du dramatique, et du suspense...

Voilà donc que s’ouvre le procès de la plus grande catastrophe industrielle française. Officiellement trente et un morts (ne sont pas comptabilisés les décès dus aux effets post-traumatiques survenus dans les mois qui suivirent), des milliers de blessés, des séquelles à vie. Des dégâts matériels considérables et secondaires. Vendredi 21 septembre 2001. Une population sacrifiée sciemment ; tout le monde savait que ça allait péter. D’ailleurs ça avait déjà pété. Plus de deux cents ans de poudrerie, d’abord royale puis républicaine, ça en fait des « accidents ». Des milliers de rescapés, parce qu’il y avait sur le site chimique bien plus de produits, bien plus dangereux, qui auraient bien pu anéantir l’ensemble de la ville. Et tout le monde d’invoquer une chance inouïe. Une population, soumise aux experts en gestion de crise majeure, maintenue en danger pendant plusieurs semaines, face à un pool d’usines chimiques éventrées répandant leurs produits toxiques aux mélanges explosifs ; sacrifiée par une préfecture qui cachait les risques et déclarait le confinement toujours de vigueur en cas de sur-accident ; alors que la moitié de la ville n’avait plus de fenêtres. Sacrifiée, parce que maintenue en place, alors que l’évacuation préventive des habitants des quartiers sinistrés en danger, aurait dû être organisée par les pouvoirs publics (comme c’est le cas lors de la neutralisation des vieux obus retrouvés proches des agglomérations). Février 2009, que juge t-on ? Une mise en danger volontaire de la vie d’autrui, une association de malfaiteurs à visée terroriste ? La mafia techno-industrielle, les multinationales et l’état, leurs ramifications politiques et économiques locales ? Que nenni, juste un « accident » pour lequel sont assignés devant le tribunal, deux lampistes de l’entreprise Total. Un procès pour la vérité ? Celle de la thèse officielle, décrétée deux jours après l’explosion par un procureur aux ordres. Vérité qui impose « le facteur humain » et la gestion désordonnée comme responsables de l’explosion. Vérité qui vise à dire qu’une telle explosion exceptionnelle ne se reproduira plus avec de nouvelles règles strictes d’exploitation. Une seule vérité possible, accusant l’exploitant d’AZF, puisque comme nous l’a bien expliqué l’ancien premier ministre de l’époque, le sieur Jospin : « mettre en cause la Société Nationale des Poudres et Explosifs, c’est remettre en cause la force de frappe nucléaire française... ». De la pure raison d’état. Et au final, la vérité qui sortira de la bouche d’un juge. La bonne plaisanterie. Le bas peuple en rigole mais ne peut croire à la mauvaise blague. « Le premier qui dit la vérité... il doit être exécuté ».Tra la la...la la... Et la vérité enterrée. Un procès pour tourner la page ? Comme si nous pouvions nous faire acheter par une vulgaire décision de justice, des indemnités et renier notre conscience, abdiquer face à la bête. Celle qui nous a pété à la gueule, comme pour nous rappeler que l’industrie guerrière est aussi une mangeuse de femmes et d’hommes, « innocentes victimes » de dommages collatéraux. Juste retour de bâton cette explosion ? Alors que la recherche et l’industrie toulousaine sont des fleurons de la technologie de destruction massive. SNPE, no futur ! Le livre est loin d’être refermé. Un procès pour faire le deuil ? Un rituel exutoire, une thérapie de groupe ? Quel mépris au bon sens, quel mépris envers ceux qui souffrent encore, souffrance engendrée par la perte d’un être cher, souffrances encore des séquelles du traumatisme. Un procès pour l’exemple ? Parce que nous sommes dans un état de droit et qu’il existe une justice. Parce que à affaire exceptionnelle, moyens exceptionnels : sept juges, quatre mois d’audience, une salle pouvant accueillir plus de mille personnes, 1 813 plaintes en parti civile, un bataillon d’experts, une nausée de force de l’ordre, le tout pour 3 800 000 euros HT... et des débats filmés pour la postérité, comme lors des procès Barbi et Papon pour crime contre l’humanité (70 médias, cinq chaines étrangères et plus de 300 journalistes). Une justice indépendante, et équitable qui s’adonne à un spectaculaire show médiatique dans le seul but d’apparaitre comme incontournable, réparatrice, régulatrice et apaisante pour les parties qui s’opposent. Mais ne l’oublions pas, un même justice, qui au quotidien broie la vie de milliers de personnes, qui prononce de plus en plus de peines, de plus en plus longues, peines éliminatrices histoire de résoudre les problèmes sociaux. Une justice pourvoyeuse de l’industrie carcérale, industrie de la punition, aussi néfaste que l’industrie chimique ou nucléaire. Alors, nous nous posons la question. A qui profite le crime ? Sachant que la chimie lourde toulousaine était déjà condamnée à disparaître avant l’explosion et que la chimie fine, mélange des dernières nécro-technologies s’implante dans le sud toulousain. A Fabre et consort, dealers de l’industrie pharmacologique, à nanOgm et autres biotechnologies mortifères... ? Le système marchand fait fi de la vie et fonde une société sur le profit, de quelques uns au détriment du plus grand nombre. Il est entretenu par tous les états garant du progrès et de la croissance économique. Le capitalisme privé ou nationalisé engendre tous les jours de part le monde, ses lots d’horreurs et de malheurs. Ceux qui en font les frais ne manquent pas et tous n’ont pas le triste privilège de participer à de telles farces juridiques en tant que victimes officielles. Au lendemain de l’explosion, la population (si tu ne sautes pas tu n’es pas toulousain) est descendue dans la rue pour exiger en toute logique la fermeture de tout le site chimique. Le « ni ici ni ailleurs » repris en coeur, restera au regard de l’histoire un slogan vide de sens, s’il ne s’adresse pas à l’ensemble des productions de mort et à la justice complice comprise.

Toulouse février 2009, des rescapés, mais pas des dupes.



vidéo

Risques industriels : "Rien n'a été fait" depuis l'explosion d'AZF

un témoignage

25/02/2009

Le nucléaire, non merci ! - Le journal de Lou

je fais un lien vers le journal de Lou
mère et fille, même combat



Le nucléaire, non merci ! - Le journal de Lou: "http://www.canalblog.com/cf/fe/tb/?bid=533634&pid=12699523"

décoffrage



sans emballage
sans titre
sans babillage
sans musique d'ambiance
sans cadre et sans décor



lancé de toile
à l'arrachée

24/02/2009

réchauffement climatique

regardez par la fenêtre !...

une vidéo sur la faculté qu' a le monde à se voiler la face et à se boucher les oreilles

23/02/2009

Hého les jeunes

"Rendre à l’argent sa vraie fonction : un simple moyen d’échange.

Voilà la véritable mission, la “révolution”, que vous avez maintenant à mener, les jeunots. Nous, les plus chenus, nous allons prendre nos cannes et tenter de vous suivre. On va se marrer, vous allez voir…"


lu (et approuvé) dans le blog du yeti



dubamix

22/02/2009

jean cocteau

Si le feu brûlait ma maison, qu'emporterais-je ? J'aimerais emporter le feu...


la traversée du miroir

Orphée et Eurydice




sauts de blogs





Une chaîne venue de chez christie à qui je dis merci pour m'avoir choisie dans ses blogs préférés.

Intitulé:
"Il s'agit d'afficher le logo et de mettre 7 blogs que j'aime. Sans oublier de les avertir."



voilà donc mes sept ricochets de blogs:
Lou
"L'hiver c'est l'insatisfaction délicieuse d'un lundi matin, les pieds contre un chat tout chaud blottis sous la couette et les yeux dans le vagues entre les entrechats de la fumée de ma cigarette oubliée."


gipé
"ordre"


les mots ont un sens

"Sarkozy Daumeray : 700 policiers pour 1600 habitants et aucun manifestant, record battu ! 3439"




karmacoma

"Je ne sais pas où est passée mon âme.
Moi qui pensais que l’échéance approchant, elle m’indiquerait enfin clairement le chemin…
Elle s’est juste lâchement tirée me laissant seul dans le brouillard…"


boulet
de la bd

Noèse
"Le chemin vers ma vie
Se granite en mince couche"

helLutte
"Il y a des êtres humains qui n'ont pas besoin de parler la même langue pour se comprendre. Il y a des êtres humains qui se reconnaissent avec la certitude rivée au coeur. Il suffit de quelques mots prononcés ou écrits pour que tout le cheminement de l'âme apparaisse, clair comme l'eau de source offerte par la montagne."

20/02/2009

un oiseau bleu

Il y a dans mon cœur un oiseau bleu qui
veut s’échapper
mais je suis trop malin, je le laisse juste sortir
la nuit quelquefois
quand chacun est endormi.
Je dis, je sais que tu es là,
alors ne sois pas
triste.

et puis je le remets à sa place,
mais il chante un petit peu
là-dedans, je ne l’ai pas tout-à-fait laissé
mourir
et nous dormons ensemble comme
ça
avec notre
pacte secret
et c’est assez gentil pour
faire qu’un homme
pleure, mais je ne
pleure pas,
et
vous ?


charles Bukowski

vous êtes les arcs




Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même.
Ils viennent à travers vous mais non de vous.
Et bien qu’ils soient avec vous,
ils ne vous appartiennent pas.

Vous pouvez leur donner votre amour
mais non point vos pensées,
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes,
Car leurs âmes habitent la maison de demain,
que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves.
Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux,
mais ne tentez pas de les faire comme vous.

Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.

Vous êtes les arcs par qui vos enfants,
comme des flèches vivantes, sont projetés.

L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini,
et Il vous tend de Sa puissance
pour que Ses flèches puissent voler vite et loin.
Que votre tension par la main de l’Archer
soit pour la joie ;
Car de même qu’Il aime la flèche qui vole,
Il aime l’arc qui est stable.


Khalil Gibran, Le prophète

17/02/2009

à donner pour etre bien

aujourd'hui, nouveau billet juste pour passer une petite annonce.walking a décide d'arrêter son blog alors,
il faut bien que je m'occupe du chien puisque personne n'y a pensé, tous affairés que vous êtes a vous demander s'il est parti ou si c'est encore une de ses entourloupes...


alors voilà:

dog à donner pour être bien;
son maître n'ayant plus le temps de le promener tous les soirs dans les rues de la blogosphère.

appel à votre bon coeur!..

16/02/2009

Sderot israël: "au bout du monde à gauche"

Ivres de guerre et de haine

(14 février 2009 08:54, Courrier international, par Daria Aslamova)



Une journaliste russe est allée à la rencontre de ses ex-compatriotes, des Juifs de Russie installés depuis moins de dix ans sur le territoire israélien. Au moment où leur représentant, Avigdor Lieberman, s'impose comme la troisième force politique du pays, elle témoigne, effarée, de la dérive morale de cette communauté.





"La petite ville israélienne de Sderot est un vrai trou perdu de province, "au bout du monde à gauche", comme disent ses habitants.
Si cette bourgade a fait la une des médias du monde entier,
c'est à cause des roquettes artisanales Qassam qui s'y abattaient régulièrement [lancées à partir de la bande de Gaza]
et de la "colline de la honte", hauteur qui offre une vue dégagée sur la bande de Gaza et d'où des centaines d'Israéliens sont venus se délecter du spectacle des trois semaines
[27 décembre 2008-17 janvier 2009] d'offensive contre les Palestiniens.

"Mes compatriotes sont devenus fous, constate Nomika Zion, une habitante de Sderot, avec un tremblement dans la voix.
Toute la ville est pavoisée.
Il y a des drapeaux partout.
Des groupes de soutien distribuent des fleurs dans les rues, les gens klaxonnent pour saluer chaque nouvelle tonne de bombes larguée sur nos voisins,
les habitants de la bande de Gaza.

Cette euphorie démente, cette ivresse de la guerre, cette soif de vengeance et de pouvoir me terrifient.
Ces gens ont oublié la maxime juive selon laquelle il ne faut pas se réjouir lorsque son ennemi est à terre."

Nomika Zion, une femme belle et passionnée, est une véritable enfant d'Israël, née dans un kibboutz au sein d'une famille de militants politiques, dans l'atmosphère idéaliste où l'on inculquait aux enfants que les droits civiques étaient ce qu'on ne pouvait retirer aux autres sans se déshonorer.

Dans son kibboutz, elle a créé un groupe nommé Une autre voix de Sderot et publié un article sur Internet affirmant, entre autres, que "le bain de sang qui a eu lieu à Gaza ne s'est pas fait en mon nom, ni au nom de ma sécurité".
Cet article a fait de Nomika et ses amis des parias dans la ville, où, dé
sormais considérés comme des traîtres, ils se font cracher dessus et insulter. ...

l'article en entier ici ou

un reportage bd de Chapatte: (transmis par dusportmaispasque)
"dans l'enclos de Gaza"

NATO Game Over !..

NATO GAME OVER EN BELGIQUE
21 mars 2009


Le quartier général de l’OTAN se trouve en Belgique. La décision de notre gouvernement de faire de l’OTAN un allié fidèle, a été prise. Pour cette raison et en réponse au nouveau sommet de l’OTAN à Strasbourg et à son soixantième anniversaire, nous sommes déterminés à fermer le quartier général de l’OTAN à Bruxelles.

Le NATO GAME OVER en Belgique est un appel au gouvernement belge à plaider, lors du sommet de l’OTAN à Strasbourg, contre le bouclier anti-missile et pour la fermeture des bases militaires américaines en Europe.







Une campagne de Vredesactie: action pour la paix

Une alliance militaire qui intervient dans le monde entier, qui possède des armes nucléaires et est prête à les utiliser en premier, représente un danger pour la paix mondiale.

L’OTAN, peu de gens ont une réelle idée de ce que fait cette organisation internationale. Pourtant, notre politique de sécurité nationale est déterminée en grande partie par l’adhésion de la Belgique à l’OTAN : la Belgique mène la guerre en Afghanistan, la Belgique héberge des armes nucléaires de l’OTAN à Kleine Brogel, la machine de guerre américaine pour l’Irak est rendue possible par le transport de matériel militaire via nos voies ferrées, nos ports et aéroports. L’OTAN considère ses interventions militaires, qu’elle mène dans le monde entier, comme une priorité principale. En Afghanistan, l’OTAN nous montre clairement sa manière de procéder : apporter la paix et la démocratie par les bombardements de ses avions de combat.

15/02/2009

s’il vous restait 500 euros et 500 secondes à vivre

en promenant son chien il m'a emberlificoté dans sa chaine:

1.Écrire un article relatant ce que vous feriez s’il vous restait 500 euros et 500 secondes à vivre. Vous avez carte blanche, que ce soit en 3 mots ou en 500 lignes, laissez libre court à votre imagination.
2. Relancer la chaîne en invitant 5 de vos amis à répondre à leur tour à la question.
3. Faire référence à cet article et à ces mini-règles afin que l’on puisse tracer tous les participants.
4. Intituler votre article “500 euros et 500 secondes par Votre Nom

l'article est ici sur le blog de lyon69

alors voilà
comme je lui ai toujours dit que je le suivrai jusqu'au bout du monde et même plus encore, je vais donc sauter dans son congélo pour le rejoindre, en espérant que je ne vais pas tout foutre en l'air et le réveiller avec toute la chaleur de mon amour.

alors pour la suite:
gipé
juilev
filledufeu
vangauguin
cultu

14/02/2009

14 février

graphisme aléatoire de mousse





"Dans un couple, peut-être que l’important n’est pas de vouloir rendre l’autre heureux...
c’est de se rendre heureux et d’offrir ce bonheur à l’autre."


Jacques Salomé

08/02/2009

Julian Murphy: ses couteaux suisses




conaissez vous julian Murphy?



murphy



Julian Murphy meubles, vêtements, instruments de musique, objets usuels
Julian Murphy décrit son travail comme «tantrique Pop Art" une habile combinaison d'érotisme et d'insinuations visuelle qui met l'accent sur la vie, confirmant la sexualité de notre environnement.




"L'art de Murphy, libidineux au premier abord, est en fait un travail politique sur le fétichisme dans toutes ses formes. Il s'attaque aux symboles culturels, tels le couteau suisse ou les poupées russes, ainsi qu'à certaines représentations artistiques et sociales. Quelques de ses œuvres font apparaître aussi la face cachée des rapports sexuels, la violence.
Plus qu'un clin d'œil, c'est une provocation ingénieuse qui engendre une multitude d'interprétations.
Proche de Warhol par sa démarche artistique, Murphy vise un public très large sans que son art cède à l'impératif pornographique. " Votre zone la plus érogène est votre esprit ", dit-il"

justice pour la palestine


signez la pétition universelle demandant instamment à la CPI de traduire les criminels de guerre en justice.

pétition


le blog d'Annie

05/02/2009

sans étiquette

sarkozy: Boycott !..


repris chez jjacques

ce soir a 20h j'éteins ma télé


"..Refusons d'être complice de toutes ces opérations publicitaires...Cette intervention présidentielle, d'une durée de 70 à 90 minutes, sera diffusée en direct par :
TF1, France 2, M6 et RTL, il monopolise le petit écran, et bien faisons autre chose."



et moi c'est tous les jours que je l'éteins !...

vive les dvd et les blogs !
..

04/02/2009

y croire?

WASHINGTON, 4 février :
Le président américain Barack Obama proposera à la Russie de réduire de 80% les arsenaux nucléaires des deux pays, a écrit mercredi le Times citant des sources proches de la Maison Blanche.

Selon le journal britannique, M. Obama nourrit un projet radical prévoyant une réduction des ogives nucléaires à 1.000 pièces dans les arsenaux russe et américain.

Par ailleurs, poursuit le Times, M. Obama pourrait renoncer au projet de déploiement du bouclier antimissile américain en Europe de l'Est cher à son prédécesseur George W. Bush.

lettre ouverte à "mon jouet d'entre-cuisses"(sous-titré Love)



Tu me plies, tu me lies
tu me froisses
et je crie...
En négatf, les mots de Ferré, retournés comme un gant.
Maître du jeu, quel jeu, quel maître?
t'es mon Chaud
mon envie
je me goinfre de ton désir comme d'un dessert
T'es mon Doux
mon doudou mon Essentiel
Mon éternel instant formulé dans un murmure

ton souffle dans mon oreille
inépuisable source de mille et une sensations rouges
Tu me fonds me liquéfies.

Trapézistes
retourner le miroir
En surexposés, les mots de Ferré:
je te plie je le lie je te froisse et tu cries
Maître du jeu quel jeu quel maître?

Et puis comment leur dire toi et moi le tintamarre
Notre histoire buissonnière
face au monde, notre incroyable incurable évidence
sous titrée LOVE

(for ever)

pour UN romantique...

Aussi longtemps que tu voudras...

connaissez vous la demeure du Chaos?





suivez ce lien avant la visite...une video d'infos






«visite initiatique au coeur de la Demeure du Chaos insufflée par l’Esprit de la Salamandre»


Film HD d’Etienne PERRONE selon un scénario original de thierry Ehrmann.

90 jours et nuits de travail pour 20 minutes de pur bonheur en HD. No comment.


www.999demeureduchaos.org



'Cette démence de l’acte artistique, cette force majeure qu’est la folie créatrice permet à l’homme depuis des millénaires de bâtir des temples, des catacombes, des charniers, des lieux de génuflexion, des calvaires, des labyrinthes, des Golgotha, des oratoires, des chemins de croix, des sanctuaires, des prieurés, des cathédrales de lumière. Tous ces mots, fidèle lecteur, désignent la Demeure du Chaos dont la dualité est l’Esprit de la Salamandre, le souffle alchimique de la Demeure. Alors, à ta véritable question, “pourquoi cette noirceur ?”, je te réponds simplement : quand tu verras la noirceur, réjouis-toi,car c'est le début de l'Oeuvre
(Thierry Ehrmann)

03/02/2009

yeah !...

un billet juste pour qu'une image s'affiche dans votre colonne de blog si je suis dans votre blogliste
tout ça pour vous dire que j'y suis quand même arrivée à régler ce problème de billet coincée je ne sais où. Le flux d'une adresse qui ne menait plus à rien...

bref j'en ai fini de faire de la pub pour Giuseppe Penone ( allez, encore une fois !..)

mes rêves

Mon amour pour avoir figuré mes désirs
Mis tes lèvres au ciel de tes mots comme un astre
Tes baisers dans la nuit vivante
Et le sillage des tes bras autour de moi
Comme une flamme en signe de conquête
Mes rêves sont au monde
Clairs et perpétuels.

Et quand tu n’es pas là
Je rêve que je dors je rêve que je rêve.


(paul Eluard)

aléatoire jouissance du hasard et de la couleur

Les couleurs se parlent.
je sais…tout le monde est au courant de cela. Mais ça m’enchante toujours de voir vraiment quand ça se passe devant mes yeux.

Et c’est un régal, une jouissance de regarder comment évolue un rouge s’il est déposé en petites touches dans un large espace vert.

Idem l’étonnement quand une ligne traversant la toile, crée une profondeur, une étendue ; A ce moment là, je m'assied et je regarde.
C’est là que ça se complique parce que je ne suis plus vraiment maître de mon travail.
C’est telle couleur qui m’en demande une autre, ou ce bleu là qui a besoin d’être souligné par une horizontale.
Cela crée des trous, des avancées.
On y voit alors des paysages, des formes, des ombres devinées .
Reste à choisir ce que je veux montrer.
Pas trop…j’aime l’incertitude.
Laisser le doute…
Que les choses sortent de l’ombre
très doucement.

Paul Klee : la poésie de la couleur et de la ligne




« Une ligne est un point qui est parti marcher ». Paul KLEE

02/02/2009

La Belgique ne veut plus exporter d’arme vers Israël



Le quotidien Haaretz annonce ce jour la décision du gouvernemnt belge de ne plus livrer à Israël des armes “qui pourraient augmenter sa capacité militaire”.

Cette décision aurait été prise jeudi et publiée par le quotidien belge “De Morgen” après qu’un groupe de recherche basé à Bruxelles a accusé Israël de violations du droit international, à commencer par l’enrôlement d’enfants dans son armée.

suite ici

eh bien bravo !...dommage qu'il aie fallu autant de temps pour prendre cette décision.

SOUS LES PAVES... LA TERRE - Bande Annonce

SOUS LES PAVES... LA TERRE - Bande Annonce
Vidéo envoyée par 32estnel

http://www.dailymotion.com/souslespaves

ALLEZ VOIR CE FILM

Documentaire environnementaliste de 90 minutes, «Sous les pavés ... la Terre» survient, dans un contexte devenu très déprimé, comme une bouffée d'esprit rebelle, mais sans caricature ni vaine orientation.

Naviguant entre constats alarmants et propositions concrètes dans les domaines de l'agriculture, du transport et de l'habitat, ce film incite à une réflexion de chacun d'entre nous et, plus encore, à une profonde refondation de nos modes de vie.

Paysans, artisans, ingénieurs, scientifiques, philosophes et politiques. Ce film expose leurs combats, face aux sarcasmes de leurs pairs, aux pesanteurs des administrations, à la frilosité des banques et des assurances, aux lobby ne voulant renoncer à leurs confortables avantages.

Sortie février 2009

2 fevrier:contre les mouchettes

dans nos campagnes on dit qu'il faut manger des crêpes à la chandeleur pour se protéger des piqûres de mouchettes

"manger des crêpes à la chandeleur, pas de mouchettes en été"


01/02/2009

vif l'express:sur les licenciements:l'article refusé

en Belgique : action!.. diffusez cet article qui ne parait pas dans la presse malgré la demande des journalistes cites en bas de page.

"A la suite du licenciement brutal de quatre journalistes, y compris la rédactrice en chef, du principal hebdomadaire belge francophone d’actualité, Le Vif-L’Express (groupe Roularta), une “carte blanche” (texte ci-dessous) a été rédigée par l’Association des Journalistes Professionnels et par des professeurs d’université responsables des principales écoles de journalisme à Bruxelles et en Wallonie.

La carte blanche rédigée par l'Association des Journalistes Professionnels et des professeurs d'université à propos du conflit au Vif et refusée par Le Soir et la Libre Belgique."



Un journalisme mis au pas

Le brutal licenciement signifié sans motif, le jeudi 22 janvier, à quatre journalistes chevronnées de l’hebdomadaire Le Vif /L’Express n’est pas qu’une péripétie douloureuse au sein d’une grande entreprise, comme il s’en déroule hélas chaque jour dans le pays. La mise à l’écart de collaboratrices qui comptent jusqu’à vingt ans d’ancienneté au sein du magazine, et qui en ont forgé les valeurs autant que la réputation, relève en l’occurrence d’une épuration dont les intentions manifestes sont inquiétantes pour la liberté rédactionnelle du Vif en particulier et pour le journalisme en général.

Le directeur du Vif/L’Express, qui s’était déjà signalé antérieurement à Trends/Tendances par une propension à distribuer des C4, et qui en est, au Vif, à 6 licenciements, 2 départs et 2 déplacements imposés, l’a précisé lui-même : aucune raison économique ne l’a poussé à congédier la rédactrice en chef et 3 rédactrices spécialisées l’une en politique intérieure, l’autre en sciences, la troisième en culture. Invoquant des relations dégradées entre l’équipe de rédaction et la rédactrice en chef, la direction – qui n’a pas réussi à résoudre ces problèmes – a choisi la manière la plus radicale d’y mettre fin. Le prétexte est non seulement léger mais, en outre, il ne concerne pas toutes les journalistes concernées.

La valse des licenciements, entamée au Vif voici bientôt trois ans, traduit en réalité une obsession constante : mettre au pas la rédaction du premier magazine d’information générale de la Communauté française, qui avait précisément fondé sa crédibilité sur une totale indépendance d’analyse et de jugement, tant à l’ égard de ses propres actionnaires – le groupe flamand Roularta– que vis-à-vis des différents pouvoirs, politiques comme économiques, de la société belge.

Durant plus de deux décennies, Le Vif/L’Express a pu défendre un journalisme exigeant, soucieux d’abord de la pertinence et de l’utilité, pour ses lecteurs, des sujets qu’il abordait. Au nom de cette éthique, il pouvait parfois estimer nécessaire de fâcher un annonceur, de heurter un ministre ou de consacrer une couverture à un thème moins vendeur. Tout cela n’est plus allé de soi dès l’instant où, inquiétée par une légère érosion des ventes, la haute direction de Roularta s’est laissée convaincre qu’il fallait remplacer les journalistes expérimentés, couper les têtes qui dépassent, et faire de la docilité aux impératifs économiques de l’entreprise un credo admissible.

L’éditeur du Vif n’est pas le seul à déposséder ainsi la rédaction de sa capacité à penser ses priorités et à définir ses champs d’action. En Belgique comme à l’étranger, trop d’entrepreneurs de presse choisissent, parfois sous le prétexte des difficultés économiques, d’appauvrir les contenus, de réduire les effectifs, de se priver de plumes critiques et d’esprits libres, de mettre au placard des talents fougueux, et de préférer des chefs et sous-chefs soumis.

Le Vif n’est pas le seul, mais il est l’unique hebdomadaire d’information générale largement diffusé en Communauté française. Ceux qui l’épuisent aujourd’hui de l’intérieur portent à cet égard une responsabilité devant l’ensemble de l’opinion.

A l’inquiétude pour l’avenir de ses journalistes chassés, mais aussi de ceux qui restent, s’ajoute la stupéfaction face à la brutalité sociale : convoquées un soir par un SMS sur leur portable, les quatre licenciées ont été renvoyées sur le champ de grand matin, avec interdiction formelle de repasser par la rédaction pour emporter des effets personnels. Deux heures sous surveillance leur ont été concédées, le samedi suivant, pour cette besogne. De quelle faute gravissime, de quel délit, ces quatre là étaient-elles donc coupables pour mériter un tel mépris ? Rien ne justifie une telle violence dans les relations sociales, qui en l’occurrence se double d’un réel mépris pour le droit du travail et contraste avec l’image de la paisible entreprise familiale qu’aime à se donner Roularta. La réaction de la Société des Journalistes du Vif – qui observait dès jeudi un arrêt de travail – comme le soutien inconditionnel de l’Association des Journalistes Professionnels et des syndicats, indiquent que la limite de l’acceptable a été franchie.

La crise financière, la chute des revenus publicitaires, la diversification technologique des médias et les investissements qu’elle réclame ne pourront jamais justifier à nos yeux que le journalisme soit réduit à sa seule valeur économique, que les journalistes ne soient plus les chiens de garde de la démocratie mais seulement des petits soldats zélés chargés de vendre des contenus formatés pour les impératifs commerciaux à court terme.

Nous avons besoin de rédactions expérimentées, en effectif suffisant, libres et indépendantes. Comme nous avons davantage besoin de matière grise, d’expertise, de culture et de réflexion journalistique étayée que de mise en scène spectaculaire de papiers vulgarisés à l’extrême pour plaire au plus grand nombre. Les comportements de certains managers et les plans d’économie concoctés au nord comme au sud du pays ne vont pas dans ce sens. Maintenons à nos médias leurs capacités intellectuelles : respectons les journalistes !


- Martine Simonis, Secrétaire Nationale de l'Association des Journalistes Professionnels
- Pascal Durand, Professeur ordinaire à l'ULg
- Benoit Grevisse, directeur de l'école de journalisme de Louvain (UCL)
- François Heinderyckx, Professeur ordinaire à l'ULB
- Claude Javeau, Professeur émérite de l'ULB
- Jean-Jacques Jespers, directeur de l'école universitaire de journalisme de Bruxelles (ULB)
- Hugues le Paige, journaliste
- Gabriel Ringlet, Professeur émérite de l'UCL
- Marc Sinnaeve, Président du Département journalisme de l'IHECS