Un jour pourtant un jour viendra couleur d'orange Un jour de palme un jour de feuillages au front Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche
quelle artiste, cette Maurane, quelle voix, quelle justesse ! un joyau ! ravie de rencontrer une peintre ! j'irai voir sur Artmajeur, j'y ai moi aussi une page, un peu délaissée depuis que j'ai créé mon blog ! bonne semaine, amitié d'Isa, farandoleuse du Dimanche
« Il est délicieux, dans une infinie solitude au bord de la mer, sous un ciel brouillé, de porter son regard sur un désert d'eau sans limites. Encore faut-il être allé là-bas, et en être revenu, alors que l'on voudrait passer de l'autre côté et qu'on ne le peut pas, que l'on est dépourvu de tout pour vivre et que l'on perçoit néanmoins la voix de cette vie dans le grondement des flots, le souffle de l'air, le passage des nuages, le cri solitaire des oiseaux. Mais il faut pour cela une exigence du cœur, et cette déchirure, au plus profond de soi, que provoque la nature... Oui, si l'on peignait ce paysage avec sa propre craie, avec sa propre eau, on pourrait, je crois, par là, pousser les renards et les loups à hurler. »
7 commentaires:
Bienvenue dans la farandole!
quelle artiste, cette Maurane, quelle voix, quelle justesse !
un joyau !
ravie de rencontrer une peintre ! j'irai voir sur Artmajeur, j'y ai moi aussi une page, un peu délaissée depuis que j'ai créé mon blog !
bonne semaine,
amitié d'Isa, farandoleuse du Dimanche
« Il est délicieux, dans une infinie solitude au bord de la mer, sous un ciel brouillé, de porter son regard sur un désert d'eau sans limites. Encore faut-il être allé là-bas, et en être revenu, alors que l'on voudrait passer de l'autre côté et qu'on ne le peut pas, que l'on est dépourvu de tout pour vivre et que l'on perçoit néanmoins la voix de cette vie dans le grondement des flots, le souffle de l'air, le passage des nuages, le cri solitaire des oiseaux. Mais il faut pour cela une exigence du cœur, et cette déchirure, au plus profond de soi, que provoque la nature... Oui, si l'on peignait ce paysage avec sa propre craie, avec sa propre eau, on pourrait, je crois, par là, pousser les renards et les loups à hurler. »
Heinrich Von Kleist
"Ah soledad,
mi vieja y sola compañera,
salud."
José Ángel Valente
Amicizia da Corsica
Angèle
et on danse !
Bonjour,
Pourriez-vous mettre un lien vers la solitude précédente et la solitude suivante s'il-vous-plaît ? Ce serait alors plus plus simple de suivre le fil !
Farandoliquement,
écume
je viens du site "le garde-mots" et le suivant c'est chez "eden"
http://blog.legardemots.fr/post/2008/05/02/Solitude
Cette chanson est une des plus belles de Starmania. merci.
Enregistrer un commentaire